La Malaisie a annoncé mercredi 2 juillet l'introduction d'une législation stricte visant à réduire les importations massives de déchets plastiques, une mesure supplémentaire pour ce pays en développement d'Asie du sud-est qui s'efforce de réduire sa pollution.

A l’occasion du début de l’été, la campagne « Eaux Déchets » est lancée à l’échelle nationale sous l’impulsion de France Nature Environnement. Du 20 juin au 20 septembre, fédérations, associations, sentinelles et citoyens sont invités à se mobiliser pour documenter les atteintes et valoriser les initiatives positives en lien avec les déchets dans les cours d’eau.

Dans les Landes, Dino et Mario, plus connus sous le nom des "deux dromadaires écolos", se rendent sur les plages, accompagnés de bénévoles, afin de les nettoyer. Une initiative qui a de quoi plaire.

À l’occasion de la conférence internationale I.S.Rivers, la Métropole de Lyon, le Cerema et WAO Nature & conservation vous invitent* à une journée pour partager de nombreux retours d’expérience et réfléchir ensemble sur les stratégies à mettre en place dans les territoires pour limiter les rejets de macrodéchets dans les milieux aquatiques : diagnostic, mesures curatives, organisation, sensibilisation et réduction à la source.

Libérant débris et microparticules, les plastiques contaminent tous les écosystèmes, menaçant la biodiversité, accentuant la pollution et le changement climatique. Cet ouvrage collectif explore scientifiquement cette crise globale, proposant des solutions politiques. Il s'adresse aux chercheurs, décideurs et citoyens désireux de comprendre et d'agir face à cette menace environnementale majeure.

La troisième Conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC-3), co-présidée par la France et le Costa Rica, a été l’occasion de faire des annonces inédites et décisives en faveur de la protection de l’Océan.

Chaque minute, 15 tonnes de plastique sont rejetées en mer. Alors que la production mondiale de plastique a doublé en 20 ans et pourrait encore doubler dans les 20 prochaines années, chercheurs, ingénieurs et start-ups multiplient les technologies pour tenter de nettoyer les océans et rivières. Ces solutions sont-elles à la hauteur de l’urgence ?

La pollution plastique est une problématique mondiale aux conséquences néfastes pour l’environnement et pour la santé humaine. Chaque année, environ 460 millions de tonnes de plastiques sont produites. Si nous ne faisons rien, cette quantité est appelée à tripler d’ici 2060.

M. Hervé Maurey attire l'attention de Mme la ministre de la transition écologique, de la biodiversité, de la forêt, de la mer et de la pêche sur la persistance d'un grand nombre de déchets sur les littoraux.
Selon le dernier bilan de l'organisme coordonnateur des trois réseaux nationaux de surveillance des macro et micro-déchets sur le littoral et dans les cours d'eau, il y aurait en moyenne 309 macro-déchets sur 100 mètres de littoral.

Quatre-vingt quinze pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" sur la pollution plastique prévoyant une réduction de la production de ce polluant qui sature toutes les mers du globe.

Un barrage qui capte les plastiques dans les fleuves pour qu'ils n'aillent pas polluer les océans. Le concept est né à Toulouse et va bientôt être déployé sur la Garonne.

Plastic Vortex a conçu un barrage flottant automatisé pour récupérer les déchets dans les cours d’eau en aval des agglomérations. Toulouse Métropole participe à une expérimentation sur la Garonne, avec le soutien de l’agence de l’eau Adour-Garonne.

Présente à la Conférence des Nations-Unies pour l’Océan qui se tient à Nice, la fondatrice et présidente de l’ONG No More Plastic s’élève contre un certain manque de courage concernant la production et l’usage de plastique, invitant à en finir avec le recyclage, une fausse-bonne idée dit-elle.

La pollution en mer est un fait établi, mais elle est encore mal connue. Si les macrodéchets, repérables à l’œil nu, ne représentent que 10 % du nombre des morceaux de plastique en mer, la grande majorité de cette pollution plastique reste invisible. Et pour cause : elle est constituée de morceaux de moins de 5 millimètres de diamètre, qui peuvent être ingérés par les organismes marins. Ces déchets plastiques ont de nombreux impacts sur ces organismes et peuvent potentiellement arriver dans notre alimentation.

Les 22 et 23 mai, le Cedre était à Bruxelles, en tant qu’expert de la délégation française aux côtés de la Direction de l’Eau et de la Biodiversité du Ministère en charge de l’environnement (DEB), pour participer à la réunion semestrielle du groupe d’experts européen sur les déchets marins (Technical group on Marine litter) dans le cadre de la mise en œuvre de la Directive Cadre Stratégie pour le Milieu Marin (DCSMM).