Les bioplastiques connaissent actuellement un essor notable en tant qu’alternative au plastique traditionnel, bien qu’ils ne représentent à ce stade qu’une part infime des plastiques utilisés. Leur impact écologique est certes moindre, mais leur développement pose d’autres questions, auxquelles la recherche n’a pas toujours de réponse. Ils ne doivent pas occulter le principal objectif : la réduction à la source de la production de plastiques.

Plus de 400 millions de tonnes de plastique sont produites chaque année, et on pourrait même atteindre le milliard de tonnes d’ici à 2050. Côté déchets, le plastique représente plus de 350 millions de tonnes par an, dont 70 % finissent leur vie dans les décharges ou directement dans l’environnement naturel.

Dans un contexte de recrudescence des déchets liés aux modes de consommation actuels et alors que près de 80% des déchets retrouvés en mer, notamment plastiques, proviennent directement des activités à terre, la charte
« Plages sans déchet plastique pour des communes littorales éco-exemplaires » permet aux communes littorales de s’engager pour la préservation de leurs plages, à travers 15 gestes concrets.

On les appelle des "bacs à marée". Ce sont des boîtes en bois installées sur le sable ou les digues, dans lesquelles il est possible de déposer les déchets marins abandonnés par la marée, principalement liés aux activités ostréicoles. Reportage dans la Manche.

Après l'échec des négociations à Genève, la France estime que près de 120 pays favorables à un traité ambitieux sur le plastique ont gagné en influence avant la prochaine session.

L'association PlastNat était la semaine dernière à Blonville-sur-Mer pour un atelier de revalorisation du plastique. Du déchet à l'objet, au prix de quelques efforts.

Le studio de création artistique Parade, souhaite sensibiliser la population marseillaise sur le ramassage des déchets, dans une ville qui a souvent eu mauvaise réputation.

La Malaisie a annoncé mercredi 2 juillet l'introduction d'une législation stricte visant à réduire les importations massives de déchets plastiques, une mesure supplémentaire pour ce pays en développement d'Asie du sud-est qui s'efforce de réduire sa pollution.

A l’occasion du début de l’été, la campagne « Eaux Déchets » est lancée à l’échelle nationale sous l’impulsion de France Nature Environnement. Du 20 juin au 20 septembre, fédérations, associations, sentinelles et citoyens sont invités à se mobiliser pour documenter les atteintes et valoriser les initiatives positives en lien avec les déchets dans les cours d’eau.

Dans les Landes, Dino et Mario, plus connus sous le nom des "deux dromadaires écolos", se rendent sur les plages, accompagnés de bénévoles, afin de les nettoyer. Une initiative qui a de quoi plaire.

À l’occasion de la conférence internationale I.S.Rivers, la Métropole de Lyon, le Cerema et WAO Nature & conservation vous invitent* à une journée pour partager de nombreux retours d’expérience et réfléchir ensemble sur les stratégies à mettre en place dans les territoires pour limiter les rejets de macrodéchets dans les milieux aquatiques : diagnostic, mesures curatives, organisation, sensibilisation et réduction à la source.

Libérant débris et microparticules, les plastiques contaminent tous les écosystèmes, menaçant la biodiversité, accentuant la pollution et le changement climatique. Cet ouvrage collectif explore scientifiquement cette crise globale, proposant des solutions politiques. Il s'adresse aux chercheurs, décideurs et citoyens désireux de comprendre et d'agir face à cette menace environnementale majeure.

La troisième Conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC-3), co-présidée par la France et le Costa Rica, a été l’occasion de faire des annonces inédites et décisives en faveur de la protection de l’Océan.

Chaque minute, 15 tonnes de plastique sont rejetées en mer. Alors que la production mondiale de plastique a doublé en 20 ans et pourrait encore doubler dans les 20 prochaines années, chercheurs, ingénieurs et start-ups multiplient les technologies pour tenter de nettoyer les océans et rivières. Ces solutions sont-elles à la hauteur de l’urgence ?

La pollution plastique est une problématique mondiale aux conséquences néfastes pour l’environnement et pour la santé humaine. Chaque année, environ 460 millions de tonnes de plastiques sont produites. Si nous ne faisons rien, cette quantité est appelée à tripler d’ici 2060.