Champ d’expertise et de formation de Rivages de France, le nettoyage raisonné des plages confronte hélas à un fléau têtu : l’abondance de déchets plastiques, qui ramenés par les marées, qui laissés sur place par des usagers négligents. Notre association s’inscrit donc logiquement dans la nouvelle plate-forme collaborative issue de la charte ministérielle « Des plages sans déchet plastique », dont elle relaie ci-après les dernières informations…

Utilisées pour la dégradation des déchets organiques dans les composteurs, des mini-étoiles en polyéthylène sont retrouvées par dizaines sur le littoral finistérien. Un fléau qui s'ajoute à celui des billes en plastique qui s'échouent sur les plages.

À Bali, joyau touristique de l’Indonésie, les pluies de mousson ont provoqué un échouage inédit de déchets plastiques. Près de 600 bénévoles ont participé à un nettoyage massif. L’urgence environnementale gagne en intensité face à l’inaction mondiale.

Du 9 au 11 décembre, le Cedre a participé à la réunion semestrielle du groupe intersessionnelle de Correspondance sur les déchets marins de la Convention OSPAR (ICG-Marine litter) qui s’est déroulée en ligne.

Dans cette vidéo, tournée à l'occasion de la Fête de la science 2024, Lucas Friceau, doctorant au Laboratoire Eau Environnement et Systèmes Urbains, nous présente son sujet de thèse sur les microplastiques.

Dans le cadre de la campagne VigiePlastic 2024, durant la navigation au large du Cap Corse et de l’île toscane de Capraia, nous observons que cette soupe de plastique déjà étudiée en 2019, est toujours présente, mais avec des concentrations bien supérieures !

Les négociations menées pendant une semaine à Busan, en Corée du Sud, pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique ont échoué dimanche. Les 170 pays réunis se sont toutefois engagés à continuer de négocier pour tenter de mettre fin à leurs divergences. Sans donner de date pour le moment.

Réunis en Corée du Sud, les plus de 170 pays n'ont pas réussi à s'entendre sur le contenu d'un texte juridiquement contraignant afin de mettre fin à la pollution plastique dans le monde. Un groupe majoritaire plaide pour une réduction chiffrée de la production, mais se heurte à l'opposition de plusieurs États pétroliers. Les négociations pourraient reprendre en 2025.

Les négociateurs de Busan ont échoué à se mettre d’accord sur un traité contraignant afin de limiter la pollution plastique. Une mauvaise nouvelle, alors que les scientifiques documentent chaque jour l’ampleur des contaminations environnementales et que les preuves des effets délétères du plastique sur la santé des êtres vivants s’accumulent

Une étude a détecté un effet synergique qui rend les substances plus dangereuses, ce qui constitue un signal d'alarme étant donné que les humains sont exposés aux deux types de substances. (Article de Tom Perkins)

La cinquième session de négociations pour approuver un traité international contre la pollution plastique n’a pas abouti. Un groupe de pays producteurs de pétrole dont la Russie, l’Arabie saoudite et l’Iran ne souhaitaient pas la mise en place de réductions contraignantes. Les négociations doivent néanmoins se poursuivre en 2025.

À deux jours de la fin des négociations, un texte de synthèse a été rendu. Il tente de rapprocher les positions très éloignées des plus de 170 pays. Enjeu central, la baisse du volume de production de plastiques.

À Grandcamp-Maisy (Calvados), le trait de côte recule de plusieurs mètres chaque année. L’érosion a mis au jour une décharge datant de l’après-guerre qui risque de polluer le rivage.

Du 25 novembre au 1er décembre 2024, les pays du monde entier se réunissent à Busan, en Corée du Sud, pour parvenir à un traité mondial sur le plastique.

Le cinquième et dernier cycle des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique s'ouvre ce lundi à Busan, en Corée du Sud. Enjeu principal: que les pays arrivent à s'entendre sur le plafonnement de la production de plastique. Mais deux camps s'opposent.